Le lundi 4 mars 2024, les députés et sénateurs français se sont réunis au Congrès à Versailles pour voter l’inscription du droit à l’avortement dans la Constitution en France. Avec un total de 780 voix pour et 72 voix contre, cette décision historique a été approuvée. La France devient ainsi le premier pays au monde à intégrer formellement l’Interruption Volontaire de Grossesse (IVG) dans sa loi fondamentale.
Le président Emmanuel Macron a partagé sa satisfaction sur les réseaux sociaux, qualifiant ce moment de « nouvelle liberté garantie dans la Constitution ». Il a également annoncé une cérémonie publique le 8 mars, journée internationale des droits des femmes, pour célébrer cet événement marquant.
De son côté, le ministre de la Culture en France a souligné que la France ouvrait la voie à d’autres pays en inscrivant l’IVG dans sa Constitution. Selon elle, cette décision servira de modèle pour les femmes du monde entier qui luttent pour leurs droits. Reste à savoir si d’autres pays suivront l’exemple de la France en intégrant le droit à l’avortement dans leur propre Constitution.
Cette avancée législative suscite des réactions diverses et soulève des questions sur l’impact potentiel de cette décision au niveau international. L’inscription du droit à l’avortement dans la Constitution française marque un tournant majeur dans l’histoire des droits des femmes et pourrait influencer d’autres pays à reconsidérer leur législation en la matière.
En conclusion, l’approbation de l’IVG dans la Constitution française représente une avancée significative pour les droits des femmes et ouvre la voie à de potentielles évolutions législatives dans d’autres pays.
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